Les immenses qualités du site nous ont conduit à tracer le projet muséal avec rigueur, simplicité et discrétion dans le respect des tracés d’origine de Charles Garnier. Le site, à l’usage des chercheurs et des scientifiques prend une nouvelle orientation : une ouverture au public.
Observatoire du ciel, de l’infiniment grand, le site est aussi l’Observatoire des Paysages. La scénographie du Grand Équatorial et du Petit Équatorial s’inspirent de la géométrie des lieux et de la fascination qu’ils suscitent pour le public en utilisant des procédés audiovisuels spectaculaires.
Les expositions temporaires dans le Grand Méridien sont réalisées avec un équipement de cimaises et de tables éphémères fixées aux poutres scénographiques réalisées en fibre de carbone. L’architecture intérieure et le design des aménagements neufs s’intègrent à l’existant, une écriture commune se décline en écho d’un bâtiment à l’autre.